Tu ne veux pas être heureux, si?

La plupart des personnes ne veulent pas être heureuses, ce qui est la raison principale pour laquelle elles ne le sont pas. Elles ne se rendent juste pas compte que c’est le cas.

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Avant de commencer, je voulais t’avertir que j’ouvre les portes du challenge de 6 semaines “Positive Intelligence” le 5 août - en partenariat avec Shirzad Chamine, un professeur de Stanford - à un tarif préférentiel de lancement.

Si tu veux construire des habitudes puissantes pour un esprit plus positif, je t’explique tout ici.

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Nous sommes programmés pour courir après nos désirs sans nous rendre compte qu’ils ne seront jamais assouvis, qu’à peine un désir atteint nous sommes déjà en quête du suivant.

Mais après quoi court on? Le bonheur serait-il à la clé de toutes nos ambitions?

Je ne pense pas car au fond, personne ne veut croire que le bonheur est un choix conscient, parce que ça place la responsabilité entre leurs mains. C’est pour la même raison que les gens ont parfois pitié d’eux mêmes. Ça leur donne une certaine forme de validation pour repousser ce qui est important, en se disant “que c’est comme ça, qu’un jour ça changera”, sans pour autant passer à l’action.

Mais la vérité c’est que personne ne viendra jamais nous sauver pour améliorer notre vie.

C’est un travail personnel, long, fastidieux, mais tellement satisfaisant.

Il est important d’avoir conscience que nous sommes tous victimes d’entraves psychologiques qui nous sabotent, nous bloquent, et en voici quelques autres :

1.Tout le monde à une résistance limitée à “se sentir bien”.

Quand les choses excèdent cette limite, nous nous sabotons pour revenir illico dans notre zone de confort. Le cliché de “dépasser notre zone de confort” est crucial ici : le but est de trouver du confort dans l’inconfort, ce qui est la clé pour augmenter sa résistance au bonheur.

2.Tout le monde a un niveau de “succès” perçu comme admirable - et non menaçant pour les autres.

La plupart des choses que nous faisons ont pour but de nous attirer “l’amour” des autres. Beaucoup de nos rêves, actions et ambitions démarrent de ce manque.

Une fois qu’une personne atteint ce point à partir duquel elle pense que les gens vont la juger et la critiquer pour son succès, elle passe immédiatement en mode autosabotage, ou a minima va limiter sa réussite pour rester en bons termes avec ceux dont elle cherche l’affection.

3.La plupart des personnes préfèrent le confort de ce qu’elles connaissent à la vulnérabilité de ce qu’elles ne connaissent pas.

Même quand ce qu’elle “ne connaissent pas” est mieux pour elles.

4.Plein de personnes ont peur que ”être heureux” = voir ses ambitions à la baisse.

Fondamentalement, le bonheur c’est accepter ce qui est. Ça, ça terrifie bon nombre de personnes car elles font le raccourci logique “bonheur = accepter et accepter = laisser tomber”. Pourtant le chemin vers une meilleure vie est de rêver suffisamment grand pour prendre des actions courageuses et ensuite de se concentrer uniquement sur ces actions tout en profitant du chemin.

5.Les personnes décalent l’action, ce qui les fait souffrir.

La plupart du temps il ne s’agit pas de ne pas savoir quoi faire (ou de ne pas savoir qui l’on est). Il s’agit plutôt de la résistance entre ce qu’on sait être bon pour nous et ce qui est facile, ce qui est bon sur le long terme vs le court terme. On entend notre instinct mais on ne l’écoute pas. C’est ça la principale cause racine de l’inconfort : l’espace entre Savoir et Faire.

6.Les personnes pensent que le bonheur est une réponse émotionnelle engendrée par des circonstance extérieures plutôt qu’un choix conscient et un shift de sa propre perception.

C’est être passif vis à vis de son environnement. Croire qu’un jour les choses iront mieux ou que quelqu’un viendra nous sauver de nos tourments. Le chemin de l’action et de l’ouverture d’esprit change la donne et nous fait passer dans un mode dynamique.

7.La plupart n’a aucune idée qu’il est possible de changer son point de référence, car pour eux “ils sont comme ça naturellement, c’est tout.”

“C’est juste qui je suis”. Le truc c’est que rien n’a à être une part essentielle de notre vie à moins que nous en fassions le choix. En fait, ces choses ne sont jamais essentiellement une partie de qui nous sommes mais plutôt un comportement appris. Ce sont des soubresauts de notre ego que nous ne voyons pas.

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Si tu veux me rejoindre pendant 6 semaines aux côtés d’autres personnes qui ont décidé de radicalement améliorer leur vie en contrôlant mieux leur émotions et leur cerveau, tu devrais songer à nous rejoindre, au moins à prendre connaissance de ce qu’est ce challenge 😉

Si tu veux construire des habitudes puissantes pour un esprit plus positif, je t’explique tout ici.

Quentin 🤟🏻🧨